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Articles

• De evolutie van de seinposten
  13 oktober 2010, door rixke

  De eerste seinhuizen
  Van bij het ontstaan van de spoorwegen werden de handels, die de seinen en wissels doen bewegen, gemakshalve gegroepeerd. In Engeland werden de eerste seinhuizen reeds tussen 1840 en 1850 in dienst genomen. Een weinig later verschenen zij ook op het Vasteland.
  Daar het naast elkaar plaatsen van volkomen gelijke handels de vergissingen in de hand kon werken, vatte de Franse wisselwachter Vignier, in 1856, de gedachte op “tussen de handels kleine stukjes hout met (…)

• Le dépôt central des objets trouvés
  18 avril 2021, par rixke

  Si les distraits sont savants...
  Le savant, dit-on, oublierait son nez s’il ne tenait à son visage... La réciproque serait-elle vraie ? Il s’avérerait dans ce cas que les distraits sont savants. Mais alors, on pourrait affirmer que le niveau intellectuel des voyageurs s’est élevé de façon satisfaisante au cours des dernières années, pour autant, bien entendu, que perdre des objets personnels dans les trains et dans les gares soit toujours considéré comme un signe manifeste de distraction. (…)

• Antwerpen-Centraal, een gebouw waarop we nog trots zijn
  20 oktober 2010, door rixke

  Dit spoorwegpaleis, opgericht volgens de plans van architect Delacenserie, tijdens de periode 1897-1905, domineert niet zijn machtig silhouet, het stadscentrum.
  Produkt van een decadente “fin de siècle” verraadt het door zijn bouwkunstige opzet, al de karakteristieken van die tijd en paart aan een iets te arrogant ensemble, dat evenwel niet ontbloot is van een zekere artisticiteit, een zwierige en kwistige ornamentiek, waarbij neo-klassieke en gotische motieven broederlijk naast elkander (…)

• De Centrale Bewaarplaats der gevonden voorwerpen
  27 december 2021, door rixke

  Is verstrooidheid een bewijs van geleerdheid ?
  Indien het waar is dat geleerde mensen verstrooid zijn, dan mogen we gerust beweren dat het intellectueel peil van onze spoorreizigers de laatste jaren op verheugende wijze gestegen is ; als we tenminste mogen aannemen dat verstrooidheid een synoniem is voor gemakkelijk vergeten, achterlaten, verliezen en gebrek aan zorg voor persoonlijke gebruiksvoorwerpen.
  Demagogie van de zuiverste soort, hoor ik sommigen roepen. Sofisme, beweren anderen. (…)

• Ceux des manœuvres...
  26 juillet 2010, par rixke

  Bien sûr, ils ne sont pas jolis, nos manœuvres, l’hiver, quand on les rencontre à l’aube dans les faisceaux. Ils vont et viennent le long des voies, les mains enfouies dans de grosses moufles, la face gercée, la goutte perlant au bout du nez, ahanant dans la bise qui les flagelle ou la pluie qui les fouette...
  Vous ne les connaissez pas sous cet aspect, vous qui, pendant ce temps-là, dormez encore tranquillement dans un lit bien douillet. Peut-être, malgré tout, y songez-vous quand même, (…)

• Liège-Guillemins 1958
  26 juillet 2010, par rixke

  Au début de l’année, une surprise attendait le voyageur qui n’avait plus fait escale à Liège-Guillemins depuis l’été dernier : la gare, si familière qu’on passait devant elle sans plus y faire attention, avait fait place au vide, ou presque. On était tout étonné de si bien découvrir le bout de talus fraîchement profilé de la colline de Cointe et le dôme de son monument. L’observateur attentif remarquait même que la pente de la place des Guillemins avait été inversée.
  Certains regretteront (…)

• L’évolution des postes de signalisation
  26 juillet 2010, par rixke

  Les premières cabines
  Dès le début des chemins de fer, les leviers commandant les signaux et les aiguilles furent groupés, pour des raisons de commodité. Les premières cabines fonctionnèrent déjà, en Angleterre, entre 1840 et 1850. Peu après, on en vit sur le continent.
  Comme la juxtaposition de leviers identiques pouvait provoquer des erreurs, un aiguilleur français, Vignier, eut l’idée. en 1856, d’intercaler entre ces leviers « des petits bouts de bois antagonistes, ne permettant de (…)