Guerre/Oorlog

Articles

• Roeselare in oorlogstijd
  4 december 2008, door Rixke

  In het meinummer van vorig jaar brachten we reeds in herinnering dat het toen precies 50 jaar geleden was dat de Tweede Wereldoorlog begon. Het tijdschrift Rollarius, het bulletin van het geschied- en oudheidkundig genootschap van Roeselare en Ommeland publiceerde een artikel van mevrouw L. Devriese over het station Roeselare in oorlogstijd, gebaseerd op een interview met Roger Sinnaeve, voormalig afdelingschef Transport van het district Noordwest, nu gepensioneerd. Omdat Het Spoor (…)

• Zo maar een tunnel
  7 januari 2013, door Rixke

  Tunnels zijn in een spoorweglandschap een normaal verschijnsel. Dit wil natuurlijk niet zeggen dat je ze zo maar ontmoet in b.v. een streek die o.m. bezongen wordt om haar vlakheid. Wie evenwel wat verder kijkt dan zijn neus lang is, ontwaart aan de horizon van dat vlakke land toch wel enige verhevenheid die de ambities van sommige beoefenaars van de wielersport flink afkoelt. Inderdaad, ergens in de verre buurt van die zogenaamde “muur” moeten de NMBS-treinen door een tunnel.
  Het pleit (…)

• Le viaduc de Hammerbrücke
  11 novembre 2022, par Rixke

  C’est au printemps 1841 que débutèrent les travaux de construction du viaduc de Hammerbrücke. Situé sur la ligne 37 (Liège-Allemagne), entre Astenet et Hergenrath, il enjambe un petit cours d’eau qui répond au doux nom de Gueule. L’ouvrage primitif comprenait deux étages, dix-sept arcades étant supportées par treize cintres. Ses dimensions étaient de 206,5 m pour la longueur, 8,47 m pour la largeur et 37,6 m pour la hauteur. Il fallut quelque huit millions de briques pour l’édifier et il (…)

• Le train fantôme - suite
  26 décembre 2012, par Rixke

  Dans notre numéro de septembre, à l’occasion du trentième anniversaire de la Libération, nous avons parlé du « train fantôme ». Au début de l’article, nous avons évoqué les difficultés que nous avions rencontrées pour reconstituer les faits : personne n’avait pu nous renseigner où nous aurions pu trouver des témoins vivants de l’aventure. Force nous fut donc de nous rabattre sur le « Centre de recherches et d’études historiques de la Seconde Guerre mondiale » qui mit ses rares dossiers à (…)

• Buitengewone vervoeren
  5 september 2008, door Rixke

  Te allen tijd heeft de spoorweg beschikt over een voordelig tuig om goederen te vervoeren. Zijn snelheid, de grote vervoerscapaciteit van zijn treinen, de betrekkelijk lage kostprijs van de zendingen die men hem toevertrouwde, maakten hem weldra tot een geduchte concurrent voor het wegvervoer en de binnenscheepvaart. Het Beheer van de Spoorwegen liet niets onverlet om een cliënteel te bevredigen die steeds talrijker en veeleisender werd. Om concurrerend te blijven, diende het zijn materieel (…)

• Histoire du service de l’exploitation aux chemins de fer belges
  9 avril 2014, par Rixke

  1^re partie Les origines
  Dès la fondation de l’Etat belge, le gouvernement provisoire avait immédiatement perçu la nécessité d’un nouvel itinéraire entre Anvers et l’Allemagne. Le seul moyen de transport employé à l’époque entre le port d’Anvers et l’Allemagne était évidemment la voie d’eau Escaut -Rhin, qui traversait le territoire néerlandais. Mais outre le creusement d’une nouvelle voie d’eau en territoire belge, on envisagea de développer un nouveau moyen de transport à savoir le (…)

• Le train fantôme
  12 décembre 2012, par Rixke

  Le samedi 2 septembre 1944, aux premières heures du matin, tandis que les armées alliées venaient de franchir la frontière belge en plusieurs points (Hertain, Hollain, Quévy), s’amorçait à la prison de Saint-Gilles une tragédie qui allait rester dans les mémoires - et aussi dans les archives - sous le nom d’histoire du « train fantôme ».
  Encore que de nombreux cheminots y aient été, fatalement, mêlés, il n’est pas facile de reconstituer le drame avec précision. Trente ans ont passé, (…)

• Editorial
  1er septembre 2019, par Rixke

  Il y a cinquante ans, pendant la première quinzaine du mois de septembre 1944, les Alliés libéraient la Belgique après plus de quatre années d’occupation par les nazis. Le 2 septembre à 16 h, Momignies, près de Chimay dans la botte du Hainaut, est le premier village belge libéré. Cet événement marque le début d’une semaine incroyable. Après les combats meurtriers sur les côtes normandes, les Allemands se replient rapidement devant l’irrésistible poussée des Alliés. Les 2 et 3 septembre, la (…)

• Les services de trains de voyageurs pendant l’occupation à travers les indicateurs
  18 septembre 2019, par Rixke

  Le 50^e anniversaire de la Libération nous ramène aux années sombres que nous avons connues de 1940 à 1944. Comment voyageait-on en train sous l’occupation ? Pour répondre à cette question, nous avons parcouru les indicateurs de l’époque.
  Après les combats et les destructions du début des hostilités, le réseau ferré est rétabli sur les ordres des Allemands et sous leur contrôle. Il est d’abord exclusivement réservé à l’envahisseur et les Belges qui désirent voyager doivent se contenter des (…)

• La reprise du trafic international voyageurs après la fin de la seconde guerre mondiale
  2 septembre 2020, par Rixke

  Dès la Libération, la SNCB s’est efforcée de remettre en exploitation toutes les lignes du pays et cela dans un contexte très difficile, la guerre continuant de faire rage à nos frontières du nord et de l’est. Le réseau ferroviaire devait donc satisfaire prioritairement les besoins de transport de troupes et de matériel des armées alliées, les transports civils ne pouvant être mis en place qu’après exécution des transports militaires. Par ailleurs de nombreux ouvrages d’art avaient été (…)