Ce jour là, une fois de plus, j’allais assister à la scène traditionnelle du vendredi matin. J’allais être le témoin ravi d’un spectacle de choix, je venais d’empoigner seaux et brosses, l’eau savonneuse envoyée vigoureusement d’un geste large giclait jusqu’au fond du bureau.
Soudain, une gigantesque silhouette se profila dans la porte vitrée, propulsée par deux pieds chaussés de mocassins en cuir noir, fin, luisant. Les jambes longues, droites portaient un corps de gladiateur. Les bras (...)
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