Les rails de l’époque étaient de deux sortes :
Rail « subondulé », c’est-à-dire présentant un renforcement inférieur entre portées de traverses et les rails « parallèles », c’est-à-dire présentant la surface de roulement et la surface inférieure parallèles.
Dans les projets de 1833 le poids prévu pour les rails était de 17 kg par mètre courant et leur longueur de 4,57 m (5 yards de 0,914 m).
Cependant, dès la fin de 1836, le poids au mètre courant est porté à 21,70 kg, voire de 25 à 26 (…)
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Petite chronique des premiers temps
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Les rails
24 janvier 2018, par Rixke -
Des accidents
29 juillet 2015, par RixkeTraitant du seul accident survenu au cours de l’année 1841, le Ministre déclare :
« II est vraiment heureux d’avoir à constater un résultat aussi flatteur pour les agents de l’exploitation de nos chemins de fer, surtout dans un moment où tous les esprits sont encore frappés de la déplorable catastrophe .du chemin de fer de Paris à Versailles. L’on ne saurait à cet égard, donner trop d’éloges au zèle et à l’intelligence de l’administration entière. »
Le rapport souligne que pendant la (…) -
Des droits des voyageurs en 1840
26 juin 2013, par RixkeLes places peuvent être retenues vingt-quatre heures à l’avance pour les berlines et diligences ; pour les autres classes de voitures, elles ne seront délivrées que le jour même du départ.
Il ne sera pas délivré de places de retour.
Dans d’autres voitures que les waggons ou chars à bancs, il n’est délivré de places pour les stations intermédiaires, qu’autant qu’elles ne sont pas retenues pour les destinations principales.
Pendant la demi-heure qui précède chaque départ, il n’est (…) -
De la circulation des trains en 1840
12 juin 2013, par RixkeSavez-vous que :
« Trois minutes avant l’heure fixée, le machiniste se rend avec la machine en avant du convoi ; il recule avec précaution pour s’y attacher. Dans cette manœuvre le chauffeur se tiendra au frein, prêt à enrayer.
Tout choc maladroit sera puni d’une retenue, et, s’il y a lieu, de la destitution, sans préjudice, le cas échéant, de poursuites criminelles » (Art. 125 du Règlement Général du 1er septembre 1838).
« Là où la route est à double voie, les machinistes auront soin (…)