A partir de 1899, le chauffage par la vapeur se généralisa. La vapeur, prise à la locomotive même, passait par un détendeur qui abaissait la pression et était envoyée, sans retour, par une conduite générale circulant d’un bout à l’autre du train. Cette conduite distribuait la vapeur dans chacun des compartiments à chauffer au moyen d’une tuyauterie de dérivation. Les voitures étaient reliées entre elles par un raccord mobile portant une soupape de vidange automatique. Celle-ci restait (...)
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M2
Articles
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Le chauffage par la vapeur
23 janvier 2009, par rixke -
De rijtuigen van ’26 tot nu
11 april 2008, door rixkeIn 1926 beschikte de Maatschappij over 9 319 rijtuigen en 1 602 bagagewagens voor reizigerstreinen, waarvan 8,5 % met draaistellen, 76,5 % 3-assige en 15 % 2-assige voertuigen.
Het aantal beschikbare zitplaatsen bedroeg 481 359, d.i. gemiddeld 51 per rijtuig. Dit materieel had een houten kastgeraamte en was bekleed met hout of met metalen platen. Buiten de voertuigen van de Belgische Staat bezat het rijtuigpark een enorme verscheidenheid van Duitse rijtuigen die ons in uitvoering van (...) -
Les voitures à voyageurs
21 avril 2008, par rixkeLes premières voitures métalliques de la S.N.C.B. apparurent aux environs de 1930. Jusqu’alors, le type le plus caractéristique était la voiture à trois essieux de 1890, à caisse en bois, longue de 12 m. 520 et pesant 15 tonnes.
C’est le souci du confort et de la sécurité des voyageurs qui a conduit la S.N.C.B à commencer, il y a 30 ans, à remplacer les voitures en bois par des voitures métalliques.
Toutes ces voitures sont montées sur bogies, qui permettent l’inscription en courbe des (...) -
La ventilation des voitures
23 janvier 2009, par rixkeL’ancienne méthode de ventilation, dite naturelle, faisait usage de vasistas et de registres. Les registres, installés au-dessus des fenêtres ou dans le lanterneau, étaient composés de deux plaques superposées, munies de filtres. En déplaçant une des deux plaques au moyen d’une tringle, le voyageur pouvait régler l’introduction de l’air dans le compartiment. Les vasistas, dépourvus de filtres, laissaient pénétrer poussières, escarbilles, pluie, neige, etc. Comme les deux systèmes (...)