Une dimension européenne
Le rôle de l’U.I.C.
Dans le domaine passionnant mais complexe de l’automation, l’utilité d’une large coopération internationale saute aux yeux. MM. Lataire, président de l’U.I.C., et Armand, secrétaire général, sont évidemment de ceux qui insistent le plus sur la nécessité de trouver des formes appropriées pour étudier, dans le cadre international, les vastes problèmes posés par la cybernétique.
Laissons la parole à Louis Armand : "La naissance de ce super (…)
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Le chemin de fer en mutation
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Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (VIII)
27 avril, par Rixke -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (VII)
17 avril, par RixkeVers une gestion cybernétique
Le transport des marchandises est le secteur aléatoire des chemins de fer en ce sens qu’on ne sait jamais exactement, d’un jour à l’autre, ce qu’il sera.
Pour le transport des voyageurs, le problème ne se pose pas de la même façon. Il est évident qu’on ne connaît pas de façon tout à fait précise le nombre de voyageurs qui se présenteront tel jour à telle heure pour tel train. Mais le trafic présente assez de constantes pour que l’expérience permette (…) -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (VI)
7 avril, par RixkeLa fourmilière de Bruxelles-Midi
Ayant retiré mon ticket de quai d’un distributeur (automatique), je le fais poinçonner (à quand un appareil automatique, comme dans les trams ?) et je me dirige vers l’escalier roulant qui se met en marche (automatiquement, bien sûr).
Les aiguilles des grandes horloges (tiens, encore un automatisme) sautent vers la minute suivante avec le synchronisme d’une troupe de girls. Et le claquement sec de l’indicateur de voie (automatique) indique au retardataire (…) -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (III)
24 mars, par RixkeLe block-système automatique et les postes « tout relais »
– Ça y est ! Nous voici arrêtés en rase campagne.
Les têtes se penchent hors des fenêtres. On scrute la voie. Elle est vide, à perte de vue... Malheur au contrôleur de train qui se hasarde sur le talus. Il est aussitôt interpellé en termes parfois assez vifs :
– Eh bien, mon vieux, on est fatigué ?
– On n’avance plus ?
– On va passer la nuit ici ?
– Alors, que se passe-t-il ?
II se passe que le signal, là-bas, est au (…) -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (II)
6 mars, par Rixke| De la C.C. au train-robot... | `` La commande centralisée des circulations
Primitivement, on l’a vu, les postes de signalisation étaient plutôt rudimentaires, et la sécurité des convois sur les lignes reposait avant tout sur la vigilance des signaleurs. Quant aux informations concernant l’état de la circulation sur une ligne déterminée, elles étaient souvent incomplètes, imprécises, toujours tardives. Or, c’est sur la foi de ces renseignements (donc, d’une manière relativement empirique) (…) -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (I)
20 février, par RixkeDans l’accélération continuelle du progrès technique qui caractérise notre époque, certains ont pu penser que le chemin de fer, arrivé le premier parmi les moyens modernes de transport, serait le premier à être démodé, à prendre sa retraite comme un fonctionnaire atteint par la limite d’âge.
Il n’est plus personne pour le croire aujourd’hui. Un peu partout dans le monde, on constate une flambée nouvelle d’intérêt pour la technique ferroviaire, en même temps que se multiplient les (…) -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (IV)
14 octobre 2017, par Rixke| Le chemin de fer en mutation | Dispositif de veille.
Le vieux monsieur, à l’allure encore sportive, qui arrache de justesse une place « assis » en face de moi, n’est pas content : Je ne sais pas ce qu’ils ont, ces trains, de nos jours ! De mon temps... enfin, quand il y avait des locomotives à vapeur, le train qui entrait en gare ralentissait progressivement. Avec un peu d’habitude, on arrivait à estimer l’endroit où il allait s’arrêter. Moi, j’avais ma technique. Je me tenais un peu en (…) -
Où en est l’« automation » à la S.N.C.B. ? (V)
5 juin 2013, par Rixke« Il y a toujours un passage à niveau... »
Le garde-barrière se meurt. Administrativement et professionnellement s’entend !
La barrière roulante, grinçante et cahotante, actionnée à grand renfort d’huile de bras, fait aujourd’hui partie du folklore des chemins de fer belges, au même titre que la locomotive à vapeur et les fameuses troisièmes classes à banquettes de bois. Aujourd’hui, la barrière tombe du ciel, roide, nous barrant la route avec l’inexorabilité du destin et de (…)
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